[Temoignage] Citroën prochainement ...

[Le templier]

Sorties Citroën prévues pour 2015 selon AutooPLus

 

Lifting et enrichissement de la C4 salon de Genève (elle en a bien besoin)

Un nouveau Berlingo Multispace salon de FRancfort

En juillet modification de la DS5 projecteurs et calandre, disparition des sigles Citroën, idem pour la DS4 en septembre, adieu donc à ses voitures

Novembre : présentation de la C1 Urban définitive

Décembre pour 2016, présentation de la nouvelle C3

 

Pas grand chose donc pour 2015

[VINCE]

Et tu pourras dire adieu a C5 chez citroen en 2016

[Loud Howard]

C1 Urban Ride semble se rapprocher à grands pas ...

 

http://1.bp.blogspot.com/-SXqD7Jb_czA/VF-bN-5lScI/AAAAAAABPSo/PT3IpFPx2t8/s1600/133%2Bcopie.jpg

[Invité Euca]

Heu ils veulent encore vendre des voitures chez Citroën ?

 

Parce que là...

[times54]

Dommage c'est une photo montage

[The break]

perso je rejoins Euca je n'aime pas cette face avant du tout, pourquoi ne pas avoir fait les même feux que les C4 picasso et cactus

[Le templier]

Peut-être que ça manque aussi de caractère sur les deux modèles cités

 

Ça les reprend :

 

Le PDG de DS, Yves Bonnefont, voudrait que la marque ait un impact important, comme celui d’Audi au sein du groupe Volkswagen.

 

A comparer les deux marques, le trou est immense, la gamme Audi est à la fois premium et complète, généraliste et exclusive dans certains modèles, la gamme DS...

 

J'entends des rires étouffés.

Et puis à copier l'autre, on n'en sort jamais grandi.

Modifié le 3 décembre 2014 par Le templier

[Rico3]

DS c'est un peu comme si Audi s'était contenté de ne sortir que l'Audi 50 qui n'était qu'une Polo rebadgée...

[Le templier]

Ou le contraire ?

L'Audi 50 est sortie avant la Polo, d'ailleurs, c'est à partir de cette époque que VW est sortie de l'ornière en proposant enfin des véhicules dignes de ce nom. Qui se souvient de la gamme des VW des années 60/40 hormis la Coccinelle ? Et encore celle-ci ne devait son succès qu'à son prix

[Rico3]

Je me souviens de la VW Variant avec un flat-four à l'arrière...

 

Entre VW et Audi, c'est un peu le problème de l’œuf et de la poule puisqu'il a eu dans les années soixante dix la superbe VW K70 dont les Audi sont les héritières !

 

Ce que je voulais dire c'est que Audi a sorti rapidement ses propres plateformes à moteur longitudinaux ses cinq cylindres son système quattro ses carrosserie aérodynamiques etc. c'est ça qui a forgé sa légende !

 

Quand je vois que PSA n'est même pas foutu de proroger l'hydropneumatique, comment veux-tu qu'ils créent de nouvelles technologie pour DS ?

[The break]

le futur le plus proche semble n'arriver que dans un an?

[Rico3]

Stop au HS, on n'est pas dans une discussion sur les productions anciennes de VW et Audi. Merci

 

 

A l'origine ce sont les propos d'Yves Bonnefont patron de DS qui veut que la marque ait un impact important, comme celui d’Audi au sein du groupe Volkswagen, donc ce n'est si HS que ça.

[The break]

Suite à la conférence sur les résultats 2014 de PSA

Carlos Tavares aurait évoqué le positionnement de Citroën comme étant celui du confort de suspension, des véhicules intuitifs , une technologie au service du bien être.

[magnolias]

Que reste t il à DS alors ?

Mode "ironie ON " : l'inconfort , une mauvaise ergonomie et une technologie pour le mal être ???????????

[Le templier]

Suite à la conférence sur les résultats 2014 de PSA

Carlos Tavares aurait évoqué le positionnement de Citroën comme étant celui du confort de suspension, des véhicules intuitifs , une technologie au service du bien être.

 

En espérant que le confort ne se fasse pas au détriment de l'agrément de conduite

[The break]

Que reste t il à DS alors ?

 

suspension typée sport, des boutons partout, des intérieurs sombres et pas d'airbumps.

[maximus]

Bernard Jullien : « Le positionnement de Citroën est problématique »

Bernard Jullien, directeur du Gerpisa (Groupe d’études et de recherches permanent sur l’industrie et les salariés de l’automobile), estime que PSA doit clarifier le positionnement de la marque aux chevrons.

 

Quel bilan dressez-vous de la première année de Carlos Tavares à la tête de PSA ?

 

« Dans un contexte de redistribution des cartes au niveau de la gouvernance, il a les moyens de faire ce que PSA n’avait jamais réellement mené, c’est-à-dire de reprendre le dossier de la fusion qui a bientôt 40 ans et construire un ensemble de politiques qui permettent que les synergies entre Peugeot et Citroën, voire DS, se fassent. On voit bien que sur des dossiers comme l’après-vente, ces chantiers étaient restés un peu en jachère. Après, il y a d’autres dossiers, en particulier sur l’ingénierie et les dérives vers une espèce de sur-qualité ou de ce qu’il a désigné comme une culture peu centrée sur les coûts. C’est des leçons que Tavares ramène de son expérience Renault-Nissan. L’ajustement des efforts de qualité à ce que le client veut bien payer est un peu central dans ce qui devait être fait. La quête de rentabilité de tous les instants est la marque de Tavares depuis un an, avec des traumatismes relativement forts à l’intérieur de l’entreprise parce que l’époque Peugeot d’un côté, Citroën de l’autre, vit ses derniers moments.

 

Un an après sa recapitalisation, diriez-vous que PSA est sorti d’affaires ?

 

Il reste énormément de travail, ne serait-ce que parce que le positionnement de Citroën demeure problématique. La marque se porte relativement mal en Europe et l’idée de la repositionner sur des niveaux de prix et de prestations un peu inférieurs est quelque chose que l’on perçoit très mal. Cactus avait vocation à faire cela mais les volumes ne sont pas importants. Ce n’est pas avec ça que Citroën va redémarrer. Sur un segment A qui semble déclinant, la C1, comme 108 et Twingo, a aussi du mal à s’imposer. On attend le produit cœur de gamme qui saura symboliser ce nouveau positionnement de Citroën.

 

Il y a également un problème sur DS qui ne trouve pas sa place en Europe. On en fait des tonnes mais les volumes ne sont absolument pas là. J’entends dire chez Renault qu’il vaut mieux qu’ils n’en vendent pas trop puisqu’à chaque fois qu’ils en vendent une, ils perdent de l’argent. Quand on exhibe la Chine comme la justification de DS, là aussi, on en est au début. Pour moi, il reste un assez gros souci PSA en Europe. Le groupe a longtemps été un challenger crédible de VW sur le continent européen. Aujourd’hui, c’est de moins en moins le cas car si Peugeot va mieux, Citroën va mal et DS n’est pas convaincante face aux Allemands et même face à Jaguar Land Rover. Par conséquent, le dossier européen pour Tavares n’est pas clos. Sur 2014, Renault a plus profité de la reprise des marchés d’Europe du Sud. Tant que PSA n’aura pas restauré des positions commerciales plus fortes et des conditions de profitabilité en Europe, ce sera plus compliqué de mener l’internationalisation. Si en Chine, il y a développement, il faut le faire avec Dongfeng d’un côté, DPCA Shenzhen de l’autre. Et hors de Chine, le fait que PSA n’a pas les reins suffisamment solides fait que le Brésil, c’est catastrophique, la Russie, ce n’est pas ça. Finalement, un retard est en train d’être accumulé sur tous les émergents non chinois.

 

Mise à l’écart de la famille Peugeot, déménagement prévu du siège, désengagement du club de football de Sochaux... Ces décisions symboliques avaient-elles pour but de tirer un trait sur le passé ?

 

En effet, les symboles ont été nombreux, en particulier un nettoyage dans l’organigramme. Tout ce qui était Peugeot ou affiliés a dû sortir. Il y a eu une sorte de banalisation d’une gestion non sochalienne du dossier PSA par Tavares avec l’idée qu’il ne faut pas oublier que l’entreprise a été et est encore en très grande difficulté et que par conséquent, ce n’est pas parce Dongfeng est entré au capital et que Tavares est arrivé que l’entreprise est tirée d’affaire. Elle a encore de gros efforts à fournir sur le plan des mutations stratégiques mais aussi sur le plan de la maîtrise des coûts.

 

Le groupe souffre-t-il encore de surcapacité de production en Europe qui signifierait à terme la condamnation d’un autre site français après Aulnay ?

 

Je suis sceptique sur l’idée de surcapacité en Europe car le marché a été extraordinairement bas en 2014. Sur Espagne, l’Italie et à l’Est, il y a des possibilités de voir le marché revenir à des niveaux plus acceptables dans la mesure où comme Renault, PSA a, en fermant des lignes, ajusté sa capacité. Il y a un outil qui commence aujourd’hui à revenir à un niveau de capacité satisfaisant. Et puis, surtout, il y a un potentiel de 2 à 3 millions de voitures qui sont en lévitation au niveau européen. Si le marché doit reprendre, ce n’est pas par la tête mais par le ventre. C’est le cœur de gamme des généralistes (Opel, Ford mais aussi PSA et Renault) qui bénéficieront de ça. Quand on a des produits qui sont bien positionnés sur ces segments là, ce qui est le cas de 2008, 208, 308, comme c’est le cas aussi chez Renault, on a des capacités à reprendre des parts de marché en Europe. Vu les fondamentaux du marché européen, il est d’ailleurs très bizarre que Citroën perde des parts de marché. C’est très lié à une politique produits qui n’est pas cohérente avec la stratégie du groupe et le positionnement annoncé. Il est urgentissime que Citroën parvienne à se repositionner un peu clairement avec une gamme complète. Le C4 Picasso, très technologique, n’était pas dans la philosophie produits annoncée et a créé un brouillage difficile à assumer pour le réseau et s’est traduit par cette difficulté de Citroën à tracer sa voie.

 

Carlos Tavares suit-il la voie qui fait aujourd’hui le succès de Renault ?

 

Il y a un clonage stratégique assez fort. Malgré tout, Tavares chez Renault trahissait de fortes réticences par rapport à certains positionnements, en particulier par rapport à l’entrée de gamme qu’il n’avait pas une envie folle de développer. Je pense qu’il est dans cette philosophie là et travailler sur la solidification des fondamentaux de Peugeot sur des produits comme 308, c’est ça qui l’intéresse avant toute chose. Après, est-ce qu’il a un feeling exact ou une idée claire de ce qu’il faut faire avec Citroën, ça reste l’ombre au tableau. J’attends de voir ce qui va pouvoir être fait de pertinent et convaincant sur cette idée d’un positionnement à prix raisonnable d’une gamme C chez Citroën. Il y a une vraie attente des marchés pour une gamme Citroën placée quelque part entre Renault et Dacia ou entre Peugeot et Renault. Cette place reste à inventer. Mais si Citroën réussit cela, alors, l’Espagne, l’Italie et une série de marché s comme la France pourrait se présenter de manière assez favorable. Les Français sont quand même plus convaincants sur les tendances fondamentales des marchés européens que peuvent l’être Ford et Opel qui, pourtant, ne s’en tirent pas trop mal.

Modifié le 23 février 2015 par maximus

[Amiral]

Merci beaucoup pour cet article fort intéressant! Assez d'accord avec quelques points avec lesquels je peux juger, ne serait-ce dans la communication/publicité du constructeur. C'est quoi Citroën: La Creative Technology, je serai curieux de savoir la proportion de clients qui le pense...

 

Et personnellement, mis à part les qualités que je recherche dans une Citroën (douceur, confort, tenue route impeccable, etc), et qui me pousse à en acheter pour le moment, je suis actuellement plus attiré point de vue produit global par une Peugeot (2008, 208, 308) que par la gamme Citroën.

[firag]

Creative technology ca s'appliquait pour citroen avec la 2 cv la traction la ds mais aujourd'hui quelle technologie innovante ont ils créée ? Les air bump ? La seule originale : l'hydractive ils l'abandonnent. Pourtant ils pourraient la developper et la mettre en valeur avec la baisse de conso (baisse de la caisse a l'avant a haute vitesse), la tenue de route ( faire pencher la voiture vers l'interieur du virage comme la s coupé), faciliter la montee des passagers dans la voiture (en montant la caisse).... C'est le probleme francais ils savent pas communiquer. Les pubs citroen mettent en avant des promotions sur les voitures mais pas les voitures. DS c'est un peu mieux. Quand on y pense citroen est le seul a faire des pubs sur des promotions, les autres font des pub qui mettent en valeur la voiture et a la fin disent qu'il y a des promo ou des portes ouvertes. Il faut qu'ils communiquent pour les gens pensent que la voiture est bien donc ils vont l'acheter. Et pas,pour que le sgens voient qu'il y a des promo sur une voiture donc ils vont l'acheter.

[Danast67]

Effectivement ... c'est plutot "créative promotion"

[firag]

Je viens de lire l'essai de la ds3 hdi 120ch. Le S&S avec micro hybridation n'existe plus. C'est un demarreur renforcé maintenant comme tous les autres constructeurd. Encore un truc qui etait top et qui a ete enleve. PSA etait le seul a faire ca, toute la presse auto vantait cette technologie et ils l'ont enlevee. Que dire....

[The break]

histoire de faire encore un peu plus de marge.

[magnolias]

Pour commencer à faire de la marge ; il faut vendre le produit....

" Je ne reprend pas une ds3 car elle est moins bien" ; en tout cas sur ce point précis.

Une régression n'est elle pas un facteur de non renouvellement. Alors qu'un client fidélisé est le meilleur client . Non ?

[Le templier]

Mais où va Citroën ?

 

Autoplus

 

Que va changer pour Citroën sa séparation avec DS ? Repositionnement de la marque, évolution de gamme... Explications de Julien Montarnal, directeur marketing.

 

Officiellement séparée de DS (pardon, il faut dire maintenant DS Automobiles), la gamme Citroën se retrouve privée de ses modèles les plus chic et les plus technos. Ce divorce est l'occasion, pour PSA, de repositionner distinctement ses trois marques. Julien Montarnal, directeur marketing, communication et sport de Citroën, nous explique les nouvelles orientations des chevrons.

 

Auto Plus : Pourquoi avoir séparé DS de Citroën?

Julien Montarnal : La séparation de DS vient d'abord du fait que DS est un succès! Et ça n'était pas attendu il y a cinq ans, lors du lancement. Depuis, nous avons considéré que pour permettre de transformer l'essai, DS devait devenir une marque premium, complète alternative aux premium établis.

"Design, confort et technologie"

 

A+ : Oui, mais Citroën perd du coup ce qu'il a de plus original !

JM : C'est aussi une chance pour Citroën en tant que marque, vu qu'elle s'est retrouvée dans une posture marketing très compliquée. Car autant, dans les années 60, vous pouviez être la marque du paysan au président, autant, dans le monde d'aujourd'hui, il est important que le consommateur sache à qui il a affaire. Donc le fait de séparer DS rend service à DS, mais aussi à Citroën, qui peut retrouver le discours tout à fait simple et cohérent d'une marque généraliste.

 

A+ : Généraliste, ça veut dire banaliser Citroën?

JM : Non, généraliste, ça ne veut pas dire qu'on veut faire les choses comme les autres, qu'on va faire des choses banales. Mais qu'on veut être une marque généraliste avec trois points forts dans nos produits : le design, le confort et la technologie.

On veut un design fort, impactant, qui se remarque; le confort, car on a ça dans nos gênes (une Citroën doit être plus confortable que ses concurrentes) et offrir du bien-être (le feel-good) ; de la technologie, enfin, car on a ça aussi dans nos gênes. Mais seulement de la technologie utile, celle qui facilite la vie des clients.

Si vous prenez C4-Cactus, qui est peut-être le meilleur manifeste pour ce qu'on envisage de Citroën dans le futur, vous avez effectivement un design très fort (les têtes se retournent sur son passage), on est bien dans du confort vu la sensation d'espace, avec l'esprit sofa; et technologique, là où l'on pense qu'elle est utile pour le client, tel l'Airbump pour protéger ou l'airbag de toit (autre 1re mondiale) qui libère de l'espace notamment pour la boîte à gants.

"Nous avons 20 versions 'best in class' en CO2 en Europe"

 

A+ : Vous vantez votre "Creative technologie", mais il n'y a plus de modèle électrique ni d'hybride chez Citroën, l'Hybrid Air est abandonné ! Comme le sera la suspension hydractive quand la C5 sera remplacée...

JM : D'abord, nous avons toujours deux modèles électriques au catalogue (C-Zéro et Berlingo). Surtout, en termes de motorisations, nous pensons qu'il n'y a pas une seule solution globale, mais une multiplicité de réponses. La voie la plus efficace, la plus efficiente, ça reste le moteur thermique. Or, dans notre gamme, avec nos moteurs Blue HDI et Pure Tech, nous avons 20 versions 'best in class' en CO2 en Europe, dont la C3 à 79 g (3 litres aux 100). Pour les hybrides, de fait, nous sommes dans une stratégie de groupe. PSA a annoncé des programmes pour du Plug-in hybride, Citroën en bénéficiera. Quant à l'Hybrid Air, il fait toujours partie des solutions à l'étude, mais à condition de trouver un partenaire. Enfin, concernant la suspension hydractive, la C5 l'a toujours, et nous encourageons ses fans à venir l'acheter. Il n'est absolument pas officiel que sa remplaçante ne l'aura pas.

"Il n'y aura pas de petits et de gros Cactus"

 

A+ : A l'avenir, y aura-t-il d'autres modèles aussi décalé que le C4-Cactus?

JM : Le C4-Cactus est une bonne illustration de ce qu'on voulait pour Citroën. Mais nous n'avons pas la volonté de faire des petits et des gros Cactus. On va vouloir continuer à étonner, à faire preuve d'audace du moment que ça tourne autour de nos trois points forts : design, confort, technologie. Néanmoins, selon le segment et les régions du monde, la réponse ne sera la même partout, elle sera adaptée.

[The break]

La séparation de DS vient d'abord du fait que DS est un succès!

c'est relatif, je dirais peut être pour la DS3 mais sans renouvellement ça s'essouffle pour DS4 et DS5 c'est moins évident!

 

c'est assez contradictoire et ambigüe tout ça. on voit la DS de 1955 être sciemment effacée de l'histoire de Citroën pour se retrouver affilier à une nouvelle généalogie chez la famille DS (encore en bois vert) et ce qui fait sa spécificité va rester chez Citroën (j'en suis heureux) et jusqu'aux dernières nouvelles pas chez DS.

bizzare, étrange, troublant, déroutant .