La main d'oeuvre du garage... Parlons-en...
Au bout de 4 semaines, je me fâche, à la fois des délais et de devoir payer. Le chef d'atelier me répond : Mais vous savez, sur les 85% payés par Citroën, j'y serai de ma poche, j'en paierai la moitié. - La moitié ? - Oui, monsieur, Citroën nous impose de faire les réparations, et nous devons en payer la moitié.
Je suis très surpris, je remercie le chef d'atelier de tant de générosité. Un peu troublé, quand même, je me renseigne auprès d'un autre garagiste. Il me répond : Bien sûr que non, on ne fait pas de bénéfice, on est payé au taux le plus bas possible, mais on ne doit pas payer.
Ni une ni deux, je rappelle mon chef d'atelier à Montluçon ; il finit par m'expliquer qu'en fait, comme il ne fera pas de bénéfice sur ma voiture, il y sera de sa poche : Vous comprenez, pendant que je mets mes gars sur votre voiture, je ne peux pas les mettre sur un véhicule qui me rapporterait.
Pour mémoire, il dit ça à quelqu'un qui attend sa voiture depuis 4 semaines déjà...