dorvel Posté(e) le 4 janvier 2021 Partager Posté(e) le 4 janvier 2021 Les concessions vont toutes etre inquiètes car à chaque fusion il y a de la casse... Concernant le style j'espère qu'il ne vont pas faire comme avec chrysler et sa 300 qui etait super belle à l'origine (elle etait dans tout les films et series) et qui a été vendue en europe sous lancia thema quand Fiat les a racheté.elle est devenue super moche... D'ailleurs elle a été arretée... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Nicolas Posté(e) le 5 janvier 2021 Partager Posté(e) le 5 janvier 2021 Bonjour, La révolution technologique qui s'annonce ne laisse que peu de marge de manœuvre aux groupes automobiles, les investissements dans cette transition sont considérables, tous ceux qui ne se regrouperont pas ne survivront pas, il faut voir le côté positif de cette fusion, Mr Tavares a prouvé par le passé qu'il maitrise son sujet, là où il faudra être attentif , c'est dans la stratégie pour chaque marque, espérons que chacune trouve sa clientèle en gardant ses fondamentaux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
marco35 Posté(e) le 6 janvier 2021 Partager Posté(e) le 6 janvier 2021 Salut, si çà peut intéressé quelqu'un La fusion de PSA (Peugeot société anonyme) et de FCA (Fiat Chrysler Automobiles) donne naissance au groupe Stellantis, mariant des marques renommées en Europe et outre-Atlantique. Dans cette constellation de sites automobiles, les salariés de l'usine PSA de Rennes s'interrogent sur leurs emplois. La fusion sera effective le samedi 16 janvier, ont indiqué dans un communiqué ce lundi 4 janvier, les groupes français et italo-américain. "À la suite de l'approbation des actionnaires ce jour et de l'obtention des dernières autorisations réglementaires au cours du mois dernier". Carnet de commande en panne, syndicats en warning La fusion doit répondre à un double défi : financer les véhicules propres de demain et faire face à la baisse des commandes dans le contexte sanitaire actuel, car en 2020, les immatriculations ont chuté de 25% en France. Pour remonter la pente, les deux groupes espèrent réaliser 5 milliards d’euros d’économies par an sur des stratégies communes de logistique, de recherches, de services ou encore de pièces détachées. À Rennes, PSA la Janais négocie un long virage « Il n’y avait pas trop le choix, il fallait trouver un partenaire pour faire des économies d’échelle. » explique Laurent Valy de la CFDT, alors que la fin de la Citroën C5 Aircross est programmée pour 2024, il craint pour les emplois sur le site de Rennes. Les économies d’échelle c’est aussi ce qui inquiète, Mickael Gallais, de la CGT: « je n’ai jamais entendu parler d’une seule fusion qui ne se soit pas traduite par des restructurations.» Le site de Rennes-La-Janais a compté jusqu’à 14000 salariés et ils ne sont plus aujourd’hui que 1600. Mais la direction a affirmé qu’aucune fermeture d’usine n’était envisagée. « En Europe, il n’existe que 3 usines à construire des SUV, dont Rennes », souligne Nadine Cormier de Force Ouvrière. « On est bien placé en compétitivité et en productivité et pendant les difficultés sanitaires, on a montré qu’on était prêt à tout, à faire des heures et des samedis pour la boite.» Seuls les plus agiles, dans un esprit darwinien, survivront Carlos Tavares Pour Christine Virassamy, déléguée Syndicale Centrale Cfdt, « cette fusion était une nécessité dans le contexte mondiale de concurrence actuelle, mais cette fusion doit être une opportunité d’accroître les volumes de production des sites français comme PSA La Janais. Nos sites ont déjà bien progressé en termes de productivité avec les différents accords de compétitivité et de performance conclus ces dernières années [en 2013 et en 2016 – Ndlr-]. La direction affirme qu’il n’y aura aucune fermeture de site. Mais pour la Cfdt ce n’est pas une garantie suffisante : nous attendons des engagements sur le volume d’activité des sites français et nous ne nous contenterons pas du maintien des usines, il faut aussi y ajouter le maintien des centres R&D [Recherche et développement]. Là-dessus nous serons intransigeants.» Sur la construction de nouveaux véhicules, Christine Virassamy est pour l’instant dans l’expectative. Or les syndicats sont assez inquiets de n’avoir obtenu l’an dernier aucune perspective sur 3 ans. La direction ne voulait pas, cette fois, s’engager au-delà de 2021 en raison de la crise du Covid. Cette réticence les a mis en alerte car leur propre cabinet d’expertise (Syndex) a établi des projections à la baisse pour les sites français au profit de ceux des pays de l’Est ou du Maroc. D’autre part PSA dispose de trois centres de recherche et développement en France: à Sochaux, à Vélizy et à Carrières-sous-Poissy. Ce dernier tout récent, est dédié à la transition énergétique et à l'électrification. Mais avec cette fusion PSA-FCA, il existe beaucoup d’autres centres R&D dans le groupe : en Allemagne, en Italie, au Brésil, en Argentine, en Inde, en Chine et plus récemment un au Maroc. La déléguée Cfdt s’inquiète de savoir qui l’emportera dans le partage des domaines de compétences, d’autant que l’engagement de PSA sur le niveau d’emploi dans le cadre de l’accord de compétitivité et de performance de 2016, était fixé à 10 000 emplois et qu’on n’en compte déjà plus que 8500 en 2020. Déshabiller PSA pour habiller FCA ? Du côté industriel, les quelques 8 millions de véhicules que produira Stellantis devront se répartir sur 49 entités de production centrées sur l’Europe. Or les niveaux d’utilisation des sites italiens sont aux alentours de 45% : des performances très faibles comparées à celles des sites français largement au-dessus des 100% (en 3 ou 4 équipes). Faute de croissance des volumes de production, il faudrait transférer des volumes d’activité du groupe chez Fiat. Selon la Cfdt, les faiblesses de la partie italienne sur les avancées technologiques (propulsion propre, électrification...) n’ont pas empêché la fusion qui se fait plus au profit de la survie du groupe que des sites de production. Ce qui a séduit les actionnaires, ce sont les 5 milliards annuels d’économie et l’implantation de FCA sur le marché américain. Pour les syndicats le risque pèse maintenant sur le volet social. « On sait que le gouvernement italien a prêté de l’argent à FCA et qu’il n’acceptera pas des coupes franches en Italie, relate Christine Virassamy. Côté français, PSA a aussi bénéficié d’aides à travers le CICE, les baisses d’impôts de production, les plans de relance et l’activité partielle, même si le regain de santé de PSA lui a permis d’éviter de contracter des prêts garantis par l’État (PGE). Cette fusion ne doit pas dédouaner PSA de ses engagements. C’est quand même l’argent des contribuables de l’État, de la région Bretagne et des collectivités. Alors pour nous, l’État et PSA ont un devoir de veiller au maintien des emplois et à l’accroissement des volumes d’activité tant en production qu’en R&D. Les salariés de tous les sites PSA ont participé à la baisse des coûts, au compactage, à la réduction d’empreinte immobilière et à la baisse de la masse salariale à travers des plans de départs volontaires... mais on ne pourra pas leur demander de poursuivre sans gestion équitable.» Emploi et production à la baisse Depuis 2007 date du premier plan de départ volontaire, PSA a perdu environ 30.000 emplois et des volumes d’activité sont partis dans les pays de l’Est et au Maroc. D’ailleurs cette baisse de production du nombre de véhicules, se mesure dans les chiffres: · Sochaux avec 400 000 véhicules /an est quasi stable · Mulhouse avec 300 000 véhicules est en légère baisse · Rennes 150 000 : en baisse · Poissy 100 000 : en baisse. Selon Christine Virassamy, Rennes et Poissy sont donc les grands perdants des derniers épisodes: « Rennes s’est vue démettre de volumes de production de la 5008 au profit de Sochaux qui elle-même a délesté certaines de ses productions sur l’usine d’Opel à Eisenach en Allemagne.» Des tours de passe-passe qui ne rassurent pas les salariés de Rennes sur l’avenir. Stellantis : le nom d’un groupe pour une constellation de marques Stellantis ne remplacera pas les marques sur les capots des voitures mais se substituera à PSA et FCA. Le nouveau nom latin du groupe, Stellantis, signifie : parsemé d’étoiles… les salariés voudraient croire à un avenir brillant mais beaucoup sont inquiets. Le président du directoire de PSA, Carlos Tavares, avait affirmé fin 2019 qu'il ne voyait "pas de nécessité de supprimer des marques" parmi les 14 que va compter le groupe Stellantis. FCA apporte à Stellantis de fameuses italiennes: Abarth, Alfa Romeo, Fiat, Lancia, Maserati, et les américaines: Chrysler, Jeep, Dodge et Ram. PSA amène de son côté les françaises Peugeot, Citroën et DS, ainsi que l'allemande Opel et la britannique Vauxhall, rachetées en 2017 à General Motors. Stellantis : ce qu'il faut savoir sur le futur groupe automobile mondial Le nouveau groupe Stellantis devient le quatrième groupe mondial en volume avec huit millions de véhicules livrés dans le monde au total en 2019, avant la crise sanitaire qui a affecté les marchés. · Le groupe PSA a vendu 3,5 millions de véhicules en 2019 dont 3 millions en Europe, où il est le deuxième constructeur derrière Volkswagen, et a bien résisté en 2020 à la crise du Covid-19. · FCA de son côté, a écoulé 4,41 millions de véhicules en 2019. Victime au premier semestre 2020 de l'effondrement du marché, le groupe italo-américain a renoué avec les bénéfices au troisième trimestre, avec un résultat meilleur que celui attendu. 400.000 salariés à travers le monde · FCA affiche une centaine de sites industriels dans le monde, dont 22 en Europe (Turquie, Italie et Pologne notamment), et 26 en Amérique du Nord, autour de Detroit et au Mexique. Le groupe comptait 192.000 salariés fin 2019. · PSA est présent sur une soixantaine de sites dans le monde, avec 209.000 salariés, en France et en Allemagne notamment, mais aussi en Chine, au Maroc et en Amérique latine. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
dorvel Posté(e) le 9 janvier 2021 Auteur Partager Posté(e) le 9 janvier 2021 Il y a 6 mois la fusion renault-Nissan et FCA avait avortée car bruno lemaire disait que FCA n'apportait pas assez de garanties et aujourd'hui c'est avec PSA... Tout les actionnaires de renault nissan etaient contre et la tout les actionnaires de PSA sont pour c'est etrange quand même... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Florent-In Posté(e) le 9 janvier 2021 Partager Posté(e) le 9 janvier 2021 Non, la fusion renault-Nissan et FCA a avortée car bruno lemaire sait très bien que cela aurait été la mort de PSA... Inenvisageable ! Cette affaire dure depuis 75 ans. En 1945 Renault aurait du disparaitre... Inenvisageable ! En 1968 quand Fiat a voulu racheter Citroen, l'état a mis son véto car cela aurait été aussi la mort de Renault... Inenvisageable. etc... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
JPG Posté(e) le 10 janvier 2021 Partager Posté(e) le 10 janvier 2021 Bonjour Vos affirmations sont un peu péremptoires. En 68, la fusion FIAT-CITROEN a été refusée car ca azurait été la disparition de CITROEN. RENAULT etait la proprieté complete de l'etat, qui renflouait les caisses et aurait continué à le faire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Florent-In Posté(e) le 11 janvier 2021 Partager Posté(e) le 11 janvier 2021 La disparition de CITROEN ? Quelle drôle d'idée. Non le but de l'opération c'était d'initier un General-Motors européen. Citroen aurait comblé les lacunes technologiques de Fiat et aurait récupéré à bon compte et rapidement la gamme moyenne "Renault" qui lui faisait tant défaut et chacun aurait eu accès au réseau commercial de l'autre pour vendre des modèles façon Autobianchi. ou C35. Idem aussi dans le domaine militaire ou poids lourds où il y aurait eu une véritable dynamique avec Panhard et Berliet... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Le templier Posté(e) le 13 janvier 2021 Partager Posté(e) le 13 janvier 2021 Cette fusion va ouvrir de nouvelles perspectives d'implantation d'usines et je ne pense pas que la France en bénéficie. L'Autobianchi, remarquable petite voiture (bien supérieure à une Mini sur tous les points) a été tué par Lancia, puis Fiat l'a achevée, dommage. Citer Memento finis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
marco35 Posté(e) le 13 janvier 2021 Partager Posté(e) le 13 janvier 2021 Salut, Avant d'ouvrir d'autres sites, il faudrait déjà que les sites existant tourne à plein régime ce qui n'est pas le cas surtout chez Fiat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Le templier Posté(e) le 12 février 2021 Partager Posté(e) le 12 février 2021 Il est plus intéressant d'ouvrir d'autres sites dans des pays "émergents", là où la main d’œuvre est bienveillante et surtout pas chère. Tavarès ne semble pas vouloir appliquer le retour sur les terres d'origine. Pourquoi favoriser la France lorsqu'on est une entreprise internationale. A ce sujet, mauvaises nouvelles, le directoire basé à l'étranger pour des raisons soi-disant économiques et de justice a rendu son verdict sur le devenir du groupe Stellantis (?) Il n'a échappé à personne que dernièrement, un turn-over a permis de modifier les dirigeants du groupe. Plusieurs pôles, chaque pôle ayant un constructeur faisant office de "Synergies Referent"'. Voilà donc la composition du groupe Stellantis 1er groupe, celui formé par les marques américaines qi ne devraient pas traverser l'Atlantique : Dodge, devient la marque référente avec Chrysler et RAM 2ème groupe, celui des généralistes, là sortez les mouchoirs, la honte infligée à Citroën est sévère, composé de Fiat - Abarth qui sera le référent, Citroën, le dernier maillon de la chaîne, maillon faible ? 3ème groupe, celui des généralistes supérieures, Peugeot sera le référent devant Opel - Vauxhall (la honte pour Citroën de se voir passer ainsi par une marque qu'elle a toujours dominé dans tous les essais sur des dizaines d'années 4ème groupe, le Premium Alfa Roméo sera référent devant DS et Lancia (qui devrait donc revivre), quel cadeau pour Alfa Roméo dont la réputation est très ancienne et qui a dégringolé depuis. 5ème groupe, le Global SUV, Jeep devient le référent des autres marques 6ème groupe, le luxe, laissé à Maserati. Comme le fait très justement remarquer l'Auto -Journal (source de cette info), "Opel monte en grade par rapport à Citroën qui désormais fait profil bas sans pour autant verser dans le low-cost"(lAJ) Merci à Tavarès (qui n'est pas venu à la Ferté Vidame pour le 100ème anniversaire de Citroën) et Mme Jackson, chargée de répartir les tâches, après l'avoir piteusement dirigée, elle finit par torpiller la marque Citroën, on le sentait venir, vieux châssis, voitures déjà dépassées à chaque lancement, malmenées dans les comparatifs. Gadgets pour faire croire à une avancée technologique pour cacher des châssis lourdauds, fards outranciers pour faire croire à une originalité alors que ce ne sont qu'excentricités, voiturettes, disparition de Citroën dans les usines françaises,... Deuxième mort de Citroën Citer Memento finis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
DSCXM Posté(e) le 12 février 2021 Partager Posté(e) le 12 février 2021 Qui peut croire que cette fusion ne fera pas disparaître (ou reléguées au second plan) certaines marques...Citroën:xan1: Citer La reconnaissance est une maladie du chien non transmissible à l'homme. DS 20 Pallas XM V6 BVA Volvo70 BVA GPL et un vélo à assistance électrique pegasus :PP Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
2T90 Posté(e) le 13 février 2021 Partager Posté(e) le 13 février 2021 Bonjour DSCXM, Qu'est ce que le second plan ? Quand on voit le succès de Dacia et les progrès que cette marque fait a chaque nouveau modèle, c'est impressionnant. Si le premier plan c'est l'accumulation de technologie a plus savoir qu'en faire et des plastiques moussés... bof. Le C5 Aircross est une vraie réussite pour qui aime le confort et le silence (je parle Puretech, jamais essayé de HDI). La C3 propose un produit coloré et confortable à un prix correct. Ce n'est pas pour rien que Dacia en a fait sa cible. Après, un Citroeniste peut se sentir lesé de perdre l'image du prestige des DS CX et SM, a juste titre d'ailleurs. Je trouve qu'au niveau marketing, rattacher une DS21 a la marque DS est un peu alambiqué et ne fonctionne pas. C'est le choix réalisé depuis quelques années et la fusion n'y changera rien. Mais la marque Citroen n'est pas prête de disparaître. Ce n'est pas l'intérêt du groupe Stellantis. Citer Véhicules actuels : Renault Zoe Intens 406 Coupé 2,2 16v Fiat 500E Icône Plus Volvo C70 II T5 Ex Voitures préférées : 3008 I HY4 Peugeot 1007 1.6 16V BMP5 Sporty Renault Laguna II 2.0T Initiale DS4 Just Mat THP 200 C5 Aircross Shine Pack Hÿ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Le templier Posté(e) le 13 février 2021 Partager Posté(e) le 13 février 2021 Qui peut croire que cette fusion ne fera pas disparaître (ou reléguées au second plan) certaines marques...Citroën:xan1: Là, c'est évident, Citroën est tout en bas, au dernier plan, maintenant si c'est pour concurrencer Dacia, je rappelle que la Sandero dispose du dernier châssis de Renault, pas les Citroën C3 (Opel Corsa oui), C3 Aircross et autres. Alors va-t-on voir de nouveaux produits mal fagotés pour concurrencer cette marque, sûrement. Par contre c'en est fini des présidentielles. Ou de la technologie avancé. Du réchauffé avec sûrement une belle victoire contre Aixam. Et ce ne sont pas les gadgets ou les tarabiscotages de carrosserie qui vont donner le change. La Sandero domine d'ailleurs la C3 et est la 1ère voiture vendue aux particuliers et seconde au classement de janvier 2021 vente toutes catégories. La C3 rame en 6ème place. Citer Memento finis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
2T90 Posté(e) le 13 février 2021 Partager Posté(e) le 13 février 2021 Sandero dispose du dernier châssis de Renault, pas les Citroën C3 La Sandero a 3 mois, la C3 bientôt 5 ans... Pour les Présidentiables, effectivement, ce n'est plus la cible. DS reprendra le flambeau, mais sans doute avec moins de brio. De toutes façons faut pas se leurrer, on ne retrouvera pas les années 50 qui permettaient des éclats technologiques comme la DS (parfois bien mal maitrisé). Les temps ont changé, il faut s'y faire (je laisse le choix a chacun de qualifier positivement ou pas ce changement). Citer Véhicules actuels : Renault Zoe Intens 406 Coupé 2,2 16v Fiat 500E Icône Plus Volvo C70 II T5 Ex Voitures préférées : 3008 I HY4 Peugeot 1007 1.6 16V BMP5 Sporty Renault Laguna II 2.0T Initiale DS4 Just Mat THP 200 C5 Aircross Shine Pack Hÿ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
JPG Posté(e) le 14 février 2021 Partager Posté(e) le 14 février 2021 La disparition de CITROEN ? Quelle drôle d'idée. Non le but de l'opération c'était d'initier un General-Motors européen. Citroen aurait comblé les lacunes technologiques de Fiat et aurait récupéré à bon compte et rapidement la gamme moyenne "Renault" qui lui faisait tant défaut et chacun aurait eu accès au réseau commercial de l'autre pour vendre des modèles façon Autobianchi. ou C35. Idem aussi dans le domaine militaire ou poids lourds où il y aurait eu une véritable dynamique avec Panhard et Berliet... Bonjour Je reviens sur la fusion avortée FIAT CITROEN de 68. Si vous vous remettez dans la situation de l'époque, FIAT était le premier constructeur européen, et était rentable; CITROEN était en grande difficulté financière ,perdait des parts de marché, et espérait pouvoir survivre en s'alliant avec FIAT. D'ailleurs ca a marché un peu car celà a permis la sortie de la GS. Sur le reseau. FIAT accédait au marché français. Pour l'Europe, FIAT avait un réseau plus développé que Citroen. Apres, il ne faut pas se faire d'illusions. Par la suite, FIAT aurait complètement pris le contrôle de CITROEN. Voyez ce qui s'est passé avec LANCIA et ALFA ROMEO. Au niveau technologie, LANCIA avait aussi un fort capital d'innovation. Rien n'est resté car ce sont les solutions FIAT qui ont été imposées. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Le templier Posté(e) le 15 février 2021 Partager Posté(e) le 15 février 2021 Les solutions FIAT ont engendré la quasi disparition de Lancia, et Alfa Roméo s'apprêtait à suivre la même voie, mais dans le fond tout le monde s'en fiche. Il fût un temps... https://www.caradisiac.com/citroen-cx-2400-gti-vs-mercedes-benz-230-e-technologie-francaise-ou-conservatisme-allemand-188090.htm Citer Memento finis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
JPG Posté(e) le 16 février 2021 Partager Posté(e) le 16 février 2021 Les solutions FIAT ont aussi entrainé la quasi disparition de FIAT. LANCIA a completement disparu, ALFA ne vaut guere mieux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Le templier Posté(e) le 18 février 2021 Partager Posté(e) le 18 février 2021 Nous sommes d'accord, alors pourquoi Fiat en "référent" ? En attendant, le "rival" Dacia devient costaud, va falloir se réveiller, les autres "rivaux" comme SEAT et SKODA me semblent déjà hors de portée pour le moment https://www.caradisiac.com/a-retenir-partition-maitrisee-pour-la-sandero-188214.htm Citer Memento finis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Le templier Posté(e) le 9 mars 2021 Partager Posté(e) le 9 mars 2021 https://fr.yahoo.com/news/stellantis-tavares-veut-rassurer-comp%C3%A9titivit%C3%A9-180123549.html Tavarès se veut rassurant, question, combien de Citroën encore fabriquées en France ? Citer Memento finis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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